"E pò, salvà qualcosa di ssu tempu duve nun camparemi mai più."
Annie Ernaux, Les années, Gallimard 2008
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31/01/19
21/01/19
Route de Prilly (1)
De la route j'aperçois, je crois, ta maison de là-bas.
Mais, que pouvais-tu savoir des soleils couchants, si ce n'est leurs reflets ? Il est vrai, tu voyais leurs levers.
Mais, que pouvais-tu savoir des soleils couchants, si ce n'est leurs reflets ? Il est vrai, tu voyais leurs levers.
"Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !"
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !"
Lamartine
02/01/19
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