Je ne vous ai pas raconté les fiançailles.
Tout c'est tres bien passé.
Nous avons beaucoup ri, quand mon frère Jacques a entonné la chanson de Robert Jysor, "Ne bercez pas mon coeur..." qui dit:
Sur le bateau qui va vers l'autre monde,
Ils étaient deux qui rêvaient dans la nuit,
Elle penchait sur lui sa tête blonde
Et lui, tout bas, murmurait très épris:
"Oh ma Daisy vos grands yeux de mystère,
Ont pour toujours ensorcelés mon coeur.
Je vois déjà sur la terre étrangère,
Pour nous briller l'étoile du bonheur...
Ils étaient deux qui rêvaient dans la nuit,
Elle penchait sur lui sa tête blonde
Et lui, tout bas, murmurait très épris:
"Oh ma Daisy vos grands yeux de mystère,
Ont pour toujours ensorcelés mon coeur.
Je vois déjà sur la terre étrangère,
Pour nous briller l'étoile du bonheur...
Mais sur la mer le vent s'était levé..."
Faut-il donc, qu'à chaque instant il y ait toujours un mais ?
Ici...