Da sta straggi di sangui nasciva a sinfonia d'un mondu nuveddu : "Il n’y a pas un instant de la durée où l’être vivant ne soit dévoré par un autre (...) La terre entière, continuellement imbibée de sang, n’est qu’un autel immense où tout ce qui vit doit être immolé sans fin, sans mesure, sans relâche, jusqu’à la consommation des choses, jusqu’à l’extinction du mal, jusqu’à la mort de la mort. (…) la guerre est divine (...) c'est une loi du monde."*
Di fatti a Guerra, nata e ingorda, à l'altari s'inchjinava : pasciva !
Era a legi, era.
Signori, crergu, cacciettimi aghjà i dubiti mei.
*J de Maistre, Les soirées...