"Linard, le pauvre, disait, "je t'aime (ti tengu cara)". Il avait le silence en réponse..."
U ratatattà di ssi versi passati di Desbords-Valmore, mi ripigliava. E lu tontu di Linard i ci diciva. Mi n'invengu:
N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;
Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent.
N'écris pas ces doux mots (clairs) que je n'ose plus lire :
Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ;
Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur.
N'écris pas !
(O và, nun scriva, ssi dolci paroddi, ch'un li possu, e', mancu leghja più :
Mi pari chi la tò bocci i mi sparghjessi nantu à lu cori,
Chi i mi vegu brusgià par lu surisu toiu;
Mi pari chi un basgiu l'impregniessi nantu à lu cori,
Và, nun scriva !)