Mon cher Sarratu,
Je pense à vous tout le temps, et c'est ainsi que vous me revenez.
Si vous saviez comme j'envie ce billet qui, même s'il ne contient rien qui compte, sera tenu bientôt entre vos chères mains.
Ce rien là, suffit cependant à me combler, car c'est à vous que je l'adresse.
Ici, l'automne...
(Doppu, mi sogu addurmintatu, a fatica, un aghju pussutu tena...)